L’Ecole de la Voie intérieure
L’Ecole de la Voie Intérieure transmet l’Art du Chi selon la Méthode Stévanovitch.
L’Ecole a été fondée en 1988 par Vlady et Michèle Stévanovitch.
L’Ecole s’est développée rapidement grâce à l’enthousiasme et l’aura de Vlady, grâce également à son enseignement adapté aux occidentaux, exempt de toute approche théorique et de toute interprétation. C’est la Méthode Stévanovitch.
En mars 2000, Vlady transmet à Michèle Stévanovitch la direction générale de l’Ecole et fait d’elle le principal garant de l’authenticité de son enseignement (Doshu en japonais). Michèle exerce au Centre International Vlady Stévanovitch, organe directeur de l’Ecole, installé depuis 2012 dans la vallée du Jabron, en Haute Provence.
Le fondateur :
Vlady Stévanovitch
Vlady Stévanovitch est né en 1925 à Belgrade, dans l’actuelle Serbie, d’un père serbe et d’une mère belge. Passionné de musique, mais confronté à des difficultés respiratoires, il rencontre à 14 ans un homme ayant vécu 20 ans en Inde et maîtrisant des techniques particulières (dont le Yoga) et le supplie de l’aider.
Celui qui sera son premier maître accepte et lui transmettra en quelques années cruciales des fondements qui vont bien au-delà de ce dont le jeune adolescent a conscience à ce moment-là. Vlady cultivera toute sa vie les acquis de cette période initiatique.
Lors la seconde guerre mondiale, il sera un patriote résistant communiste, puis s’opposera au régime de Tito après la guerre. Contraint de fuir la Yougoslavie, il s’installe en France et retrouve sa vocation de musicien professionnel (hautbois). Vlady rencontre à Paris son deuxième maître qui l’aidera à amener à maturité sa pratique énergétique à travers des techniques vocales, de méditation et thérapeutiques.
Installé en Belgique au début des années 70, il applique à son activité de soin ses savoirs énergétiques et s’initie au Tai Ji Quan avec maître Kuo Chi. Jusqu’au milieu des années 80, Vlady se consacre aux soins tout en approfondissant sa pratique de Tai Ji Quan. Cette discipline lui offrira le support idéal pour commencer à transmettre ses connaissances, dont il réalise une synthèse dans l’Art du Chi.
« Pour moi le Tai Ji Quan est devenu un extraordinaire moyen de transmission de l’enseignement que j’avais reçu de mes deux maîtres précédents. (…) Je retrouvais les deux voies réunies dans l’enseignement que je recevais du maître chinois. Les deux voies abordées dans une pratique corporelle d’une richesse exceptionnelle. »
Vlady Stévanovitch, L’Essentiel, Janvier 1999
Interviews de
Vlady Stévanovitch
La directrice et doshu :
Michèle Stévanovitch
Michèle Stévanovitch pratique et enseigne depuis 40 ans.
En mars 2000, Vlady transmet à Michèle la direction générale de l’Ecole et fait d’elle le principal garant de l’authenticité de son enseignement (Doshu en japonais).
Michèle enseigne au Centre International de l’Ecole et assure la direction de l’Ecole. Elle se consacre entièrement à la pratique, à la diffusion et à la transmission de cet enseignement. Elle forme les enseignants de l’Ecole.
« Je veux transmettre aux élèves d’aujourd’hui la capacité de se connecter au monde infini du Chi et à la joie de la présence intérieure de manière simple et accessible. Il n’y a pas de magie, j’enseigne des techniques, mais il y a sans cesse de l’émerveillement.
En déplaçant notre centre de la tête au ventre (Tantien), chacun peut retrouver la vraie nature du “moi”. Ouvert, heureux, amoureux de la vie. Les techniques que j’ai reçues et l’esprit dans lequel elles m’ont été transmises nous guident vers cette ouverture »Michèle Stévanovitch
Interview de Michèle Stévanovitch
dans le documentaire « La vie ancrée »
Le logo
de l’Ecole de la Voie Intérieure, l’Art du Chi – Méthode Stévanovitch
Le terme “Ecole de la Voie Intérieure” est le nom donné à l’Ecole à sa création en 1988.
Désormais, la dénomination “l’Art du Chi – Méthode Stévanovitch” est mise en avant.
Le nom de naissance demeure en interne, en relation avec la formation des enseignants notamment, mais circule encore… D’où cette petite précision.
Le logo, lui, demeure, et exprime cet esprit de la “Voie Intérieure” dans notre Ecole et notre pratique.
Le poing du combat se transforme. Il devient main ouverte, main antenne, sensible, à l’écoute de la Vie, du Chi.
Nous dépassons le combat pour plonger dans une recherche d’ouverture et d’intégration dans le grand élan de la Vie, dans la Nature. La recherche est intérieure. Nous n’avons rien à montrer, rien à prouver. Nous cherchons plutôt à disparaître, en tant que personnalité, en tant que ego, pour entrer en résonance avec la vibration de la Vie elle-même.